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L’expérience resort sur la touristique côte de Punta Cana

Après un petit tour sur Voyages Privés, nous nous sommes rendu compte qu’il y avait des offres très attractives sur Punta Cana. Nous avons trouvé que c’était peut être l’occasion de profiter de quelques jours de détente « all inclusive ». Nous partons donc pour 5 nuits, au bord de la très touristique côte de Punta Cana. Qu’avons nous fait pendant ces 6 jours ? Franchement pas grand chose, nous n’avons fait que profiter de notre chambre, de la piscine qui s’étalait tel un lac sur plusieurs centaines de mètres, un peu de la plage, des bars et restaurants du resort. Nous n’avons pas mis un orteil dehors pendant tout le long. Bref vous l’aurez deviné nous n’avons pas grand chose à vous raconter dans cet article. 

Nous avons aimé les heures de farniente à lire et à coder sur le bord de la piscine, notre chambre avec accès direct sur l’eau, tous les repas en illimité (un peu perturbant au début, l’impression d’être un enfant), l’incroyable gentillesse du personnel, leur capacité à créer une sensation de fête et de vacances en permanence, la qualité des spectacles le soir et son improbable boite de nuit…

Nous avons moins aimé les américains bruyant qui passent la journée au bar de la piscine, la surconsommation de tout (nourriture, plastique, clim… coucou la planète, nous n’avons pas vraiment l’impression de voyager responsable), la qualité de la nourriture pas toujours présente, la tourista pour Sixtine (après 3 mois en Amérique latine sans rien c’est ici qu’on l’attrape…). Le concept du resort est aussi un peu questionnable sur la façon dont ça exploite la côte. On en avait déjà parlé au Mexique, ces resorts mangent les côtes et rendent les plages inaccessibles aux locaux. 

Bref Nicolas a aimé, Sixtine un peu moins, c’est vraiment un style de vacances. Mais nous ne nous faisons pas une idée arrêtée, ça doit pas mal changer d’un resort à un autre. Finalement, nous avons très peu profité de la plage tant notre chambre et la piscine étaient agréables, à l’abri du vent. La plage était d’ailleurs pas mal recouverte par la sargasse malgré toutes leurs dispositions pour l’éviter. La sargasse se développe de plus en plus avec le réchauffement climatique… compliqué sur le long terme.

Puisqu’on a pas vu grand-chose de la République Dominicaine, il est temps de changer de cadre et de partir passer notre dernière semaine sur la péninsule de Samana.

Aperçu du trajet - République Dominicaine

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